- Rock noir, romantisme électrique -
Porté par des textes puissants et une esthétique sombre et élégante, City of Exiles signe avec «Sleeper Hunter» un troisième album envoûtant et habité.
Le groupe trace un sillon entre romantisme post-punk, lyrisme brumeux et tension à fleur de peau, dans la lignée de Nick Cave, Crime & the City Solution ou Kat Onoma.
Enregistré en Normandie et produit par Brett Orrison (Black Angels, Jack White), «Sleeper Hunter» déroule une série de titres mélodiques, hantés et parfois traversés de fulgurances soniques. Les compositions dialoguent avec les textes d’Emily Dickinson, E.E. Cummings ou Emily Brontë, dans une forme de rock littéraire, crépusculaire et viscéral.
Sur scène, City of Exiles déploie une tension permanente, comme un orage qui gronde sans jamais totalement éclater. Une expérience rare, intense et subtile, à vivre au plus près.